Compte-tenu de leur meilleure tolérabilité, les indications des AINS arylpropioniques sont plus étendues.
Outre les mêmes indications rhumatologiques que précédemment, ces substances peuvent être utilisées dans le traitement :
de douleurs inflammatoires en stomatologie (ATTENTION : les AINS peuvent masquer une infection !)
de douleurs gynécologiques : certaines dysménorrhées sont attribuées à une production locale de PGs, au niveau de l'endomètre.
A noter : les dérivés arylpropioniques sont les seuls AINS pouvant être administrés chez l'enfant.